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CHANTS REVOLUTIONNAIRES

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23 mars 2018 5 23 /03 /mars /2018 14:43
France complice de la répression contre des ouvriers égyptiens

Dans les chantiers de Naval Group (ex-DCNS) à Alexandrie

En Égypte, 26 ouvriers de la société Al-Tersana, sous-traitant égyptien du groupe français de construction navale Naval Group (ex-DCNS) attendent le 15 novembre le verdict encore une fois reporté de leur jugement par le tribunal militaire d’Alexandrie. Ils encourent de trois mois à deux ans de prison pour avoir protesté en 2016 contre les conditions de travail auxquelles sont soumis les ouvriers du chantier d’assemblage égyptien de trois des quatre corvettes Gowind achetées par l’Égypte à la France en 2014. Sur ce chantier supervisé par les experts français de Naval Group, les conditions de travail n’ont guère évolué depuis, voire elles se sont aggravées.

L’affaire a commencé en mai 2016 quand les ouvriers égyptiens du chantier de la société Al-Tersana, sous-traitant égyptien du groupe français de construction navale Naval Group (ex-DCNS), ont fait part de leur mécontentement à la direction. Ils réclamaient une augmentation de leurs salaires compris entre 800 (39 euros) et 2000 (97 euros) livres, une couverture médicale, des primes de risque et le versement d’une prime pour le mois de ramadan. La réponse du directeur de l’époque, le général Abdel Hamid Esmat, a été : « Vous n’obtiendrez que 75 livres [3,75 euros] comme prime de ramadan, au même titre que les soldats. Vous ne pouvez pas tordre les bras de l’armée ». La police militaire a été envoyée sur les lieux pour interdire l’accès du chantier aux 2000 salariés civils, ingénieurs, techniciens et ouvriers, qui tous ont été suspendus.

La direction d’Al-Tersana a alors confié les travaux de construction à des conscrits de l’armée. Confrontée à leur manque de qualification et de formation ainsi qu’aux pressions du commanditaire français Naval Group, l’entreprise s’est résolue à réintégrer 60 % des anciens ouvriers civils, sans pour autant satisfaire aucune de leurs revendications. Pire, « les salariés qui ont été réintégrés à leur poste ont préalablement signé un document leur interdisant de faire grève ou de contester leurs conditions de travail », témoigne un ouvrier d’un des ateliers d’assemblage des corvettes Gowind qui préfère garder l’anonymat.

La réintégration d’une partie des salariés qualifiés à leur poste n’a pas suffi à retrouver la productivité et rattraper les retards de livraison. Naval Group a alors demandé d’accélérer le rythme de travail pour réaliser dans les temps contractuels la construction à Alexandrie des trois corvettes. « Cet arrêt du travail sur le chantier a compromis les engagements de Naval Group qui voulait livrer les trois corvettes dans les délais exigés », révèle — sous anonymat — une source militaire française, qui indique par ailleurs que l’entreprise française est sous la menace de pénalités financières.

La société Al-Tersana a réorganisé le travail selon la formule des « trois-huit » pour faire respecter les délais de livraison et a recouru à la main-d’œuvre de jeunes cadets d’écoles militaires pour un maigre salaire mensuel de 500 livres (24 euros) en moyenne. « Ils sont âgés de 17 à 18 ans », précise un ouvrier qui supervise une vingtaine d’entre eux dans les ateliers d’assemblage des Gowind.

En décembre 2016, le président égyptien Abdel Fatah Al-Sissi a remplacé le général Esmat par un de ses pairs, le général Oussama Fathi, sans que cela n’améliore les conditions de travail dans le chantier, toujours réglées « comme dans une caserne », raconte un autre ouvrier.

Discipline de travail militaire

Parallèlement, l’entreprise française Naval Group a restructuré début décembre 2016 l’ensemble de son équipe présente sur le chantier d’Alexandrie. Selon des salariés égyptiens, « Naval Group aurait reproché à l’ancienne équipe de sympathiser avec les salariés ». Les nouveaux experts français affectés au chantier restent en effet enfermés dans leurs bureaux. « Ils nous donnent les instructions par téléphone ou par l’intermédiaire d’un ingénieur égyptien », révèle un des ouvriers.

Malgré des demandes répétées, le sous-traitant de Naval Group n’a pas même fourni à ses personnels les équipements individuels nécessaires à leur protection. Le 21 mars 2017, 3 ouvriers ont été tués et 5 autres blessés sur le chantier à la suite d’une fuite de gaz.

L’armée a racheté la société Al-Tersana en 2007 lors de la vague de privatisation de la dernière décennie de l’ère Moubarak. Dans l’approche des militaires égyptiens, les ouvriers doivent se conformer à une discipline de travail drastique et se voient refuser tout droit à exprimer une quelconque demande. C’est ainsi que 26 d’entre eux sont poursuivis par la justice militaire, dont 14 pour incitation à la grève. Mais pour Atef S.1, ouvrier quinquagénaire visé par l’accusation, celle-ci est sans fondement. « Nous avons présenté pacifiquement nos revendications à la direction et nous avons en retour été traités comme des soldats de caserne ». L’un des députés d’Alexandrie, Haitham Al-Hariri a, pour sa part, réfuté la compétence d’un tribunal militaire pour juger des ouvriers qui ne sont pas des soldats. « On ne doit pas faire comparaître des ouvriers civils devant des tribunaux militaires. Organiser des manifestations ou des grèves sur leur lieu de travail n’est pas illégal. La Constitution égyptienne garantit ces droits. Nous vivons dans un État et non dans une caserne ».

Des salariés méprisés, Paris indifférent

Mais ce sont les lois de l’armée qui s’imposent in fine. Le tribunal militaire a fait reporter le prononcé du verdict au début du mois d’octobre 2016. Il a depuis fait l’objet de 19 reports consécutifs. Le dernier est arrivé à échéance le 14 novembre 2017. Le tribunal militaire a cependant autorisé le 15 novembre 2016 la remise en liberté sous caution des ouvriers sous la stricte condition qu’ils présentent leur démission. Aucune attestation de travail ni aucun document leur permettant de retrouver un autre emploi ne leur ont alors été fournis. Pour subvenir aux besoins de sa famille, Atef S. est parvenu au bout de huit mois à trouver un emploi de journalier dans un restaurant. Samer Ibrahim, un de ses ex-collègues, a été contraint de divorcer en raison de son incapacité à subvenir aux dépenses de son foyer.

Pour les autres 750 à 800 autres salariés qui n’ont pas été réintégrés à leur poste, les jours ne sont pas meilleurs. Suspendus de leur travail sans aucun licenciement officiel, ils n’ont de même aucun papier pour rechercher un nouvel emploi. Des dizaines d’entre eux ont décidé de déposer une plainte devant le tribunal militaire d’Alexandrie. Leurs camarades qui ont été réintégrés ont tenté une médiation en leur faveur auprès la direction égyptienne du chantier. Ils se sont heurtés au mépris du général Oussama Fathi qui leur a rétorqué : « Laissez la justice les aider ! ».

Le 13 juillet 2017, c’est-à-dire la veille de la fête nationale française, le nouvel ambassadeur de France en Égypte Stéphane Romatet s’est rendu à Alexandrie. Le nouveau directeur d’Al-Tersana lui a alors montré fièrement l’avancement de l’assemblage des Gowind. Ce faisant, la France cautionne une façade cachant une réalité peu à son honneur : peu importent les conditions d’exécution sur place de ses contrats d’armement.

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23 mars 2018 5 23 /03 /mars /2018 14:18
Pantalonnade électorale en Égypte

Sept ans après la révolution qui a mis à bas le président Hosni Moubarak, une chape de plomb s’est abattue sur l’Égypte. Et les consultations électorales se réduisent à une mascarade.

Les Égyptiens sont appelés aux urnes du 26 au 28 mars pour désigner le président de la République. S’il fallait un mot, un seul, pour caractériser ce processus que l’on peut difficilement qualifier d’électoral, celui qui vient immédiatement à l’esprit est « pantalonnade », une représentation théâtrale mêlant ridicule et hypocrisie. Car la scène a été soigneusement nettoyée pour éliminer tout acteur qui pourrait faire de l’ombre à la vedette, le président Abdel Fattah Al-Sissi, candidat à sa propre succession.

Ainsi, on ne compte plus les responsables politiques qui ont été disqualifiés sous les prétextes les plus farfelus. Et d’abord, l’ancien premier ministre Ahmed Chafik, qui avait obtenu plus de 48 % des suffrages au second tour de l’élection présidentielle de 2012 — la seule de l’histoire du pays qui ait été démocratique — face à Mohamed Morsi, le candidat des Frères musulmans. Ayant annoncé sa candidature à partir d’Abou Dhabi où il était réfugié, il a été mis de force dans un avion pour Le Caire. Il a fallu quelques semaines d’« amicales pressions » pour le contraindre à renoncer.

L’ancien chef d’état-major (2005-2012) Sami Annan affirmait à son tour, début janvier, vouloir concourir. Mal lui en a pris : il a été arrêté et jeté en prison, le pouvoir rompant ainsi avec une règle non écrite qui voulait que les anciens généraux ne soient jamais embastillés. Le colonel Ahmed Konsouwa s’est lui aussi vu condamné à six ans de prison par une cour martiale pour avoir osé faire acte de candidature. Dans ces conditions, les derniers candidats en lice : Mohamed Anouar El-Sadate, le neveu de l’ancien président — à qui on a même refusé l’autorisation de tenir une conférence de presse — et Khaled Ali, un avocat de gauche ont annoncé leur retrait d’une compétition truquée.

Acte 2 de la pantalonnade, à quelques jours de la clôture des candidatures, Sissi se trouvait dans la situation délicate de devoir concourir sans aucun adversaire, ce qui risquait d’aboutir à la démobilisation d’un électorat déjà peu enclin à se rendre aux urnes. Lors de sa visite au Caire au mois de janvier, le vice-président américain Mike Pence avait confirmé le soutien des États-Unis à un deuxième mandat de Sissi, mais à la condition qu’il ne soit pas le seul en lice. On a donc assisté, fin janvier, à une série de manœuvres de coulisses qui ont fait la joie des réseaux sociaux, mais ont été passées sous silence par les médias officiels (les seuls désormais autorisés), à côté desquels la Pravda du temps de Leonid Brejnev apparaît comme un havre de pluralisme.

Le choix des autorités, ou plutôt des moukhabarat, les services de police qui s’occupent de ce type de besogne, s’est d’abord porté sur Al-Sayid Al-Badaoui, un dirigeant du néo-Wafd, héritier d’une formation nationaliste. L’homme a accepté, cependant un vent de révolte a soufflé sur le vieil appareil et sa direction a refusé ce diktat, d’autant qu’elle avait déjà entériné le président Sissi. Pressée par le temps, la police politique s’est rabattue sur Moussa Mostafa Moussa, un obscur politicien, lui assurant, quelques minutes avant le délai règlementaire, les signatures de 27 députés indispensables pour se présenter. Et le nouveau candidat a dû effacer à la hâte de sa page Facebook son appel à voter pour… le président Sissi.

Ces manœuvres ont amené un sursaut de la part d’une opposition égyptienne plutôt moribonde, qui a décidé de s’unir pour la première fois depuis 2013. Le 30 janvier, une demi-douzaine de partis et cent cinquante responsables et militants politiques, dont Khaled Ali, Abdel Moneim Aboul Foutouh, dirigeant du parti Pour une Égypte forte, Hamdin Sabahi, dirigeant d’un parti nassérien, et Mohamed Anouar El-Sadate appelaient au boycott de la farce électorale, autre terme pour pantalonnade. Le résultat ne s’est pas fait attendre : Aboul Foutouh1 a été jeté en prison le 14 février, accusé de terrorisme, et son parti devrait bientôt être dissous.

À ceux qui n’auraient pas compris, Sissi en personne a déclaré le 1er février : « Faites attention. Ce qui s’est passé il y a sept ou huit ans [la révolution de 2011] ne se répétera pas. Ce qui n’a pas marché à l’époque ne marchera pas. (…) Ceux qui veulent ruiner l’Égypte auront d’abord affaire à moi. Au prix de ma vie, et de celle de l’armée. »2. Déjà, en septembre 2016, le président avait menacé : « Nous avons un plan pour déployer l’armée dans tout le pays en six heures pour protéger la sécurité de l’État. »

Élu — mais ce terme semble bien inapproprié —, le président devrait changer la Constitution qui garde encore quelques traces de l’esprit du 25 janvier 2011. On annonce qu’il supprimera l’interdiction de deux mandats pour le président, ce qui ouvre la voie à la « présidence à vie ». Il annulera aussi sans doute la clause qui prévoyait que le ministre de la défense devait rester en poste pendant dix ans. Cette disposition, adoptée à l’époque pour préserver l’armée du pouvoir civil, est désormais inutile, voire dangereuse : l’actuel ministre de la défense Sedki Sobhi serait un des derniers hauts gradés à faire obstacle au pouvoir personnel de Sissi, alors qu’il a entamé une purge qui va du changement du chef d’état-major en octobre 2017 à la destitution du chef des Renseignements généraux en janvier 2018, qu’il a remplacé par son propre chef de cabinet. Le cercle de confiance du président se rétrécit dangereusement.

Dans un éditorial, le Washington Post du 24 janvier titrait : « Le dictateur égyptien n’est pas un ami des États-Unis. » Il est, en revanche, un « ami de la France », son premier fournisseur d’armes. Recevant Sissi le 24 octobre 2017 à l’Élysée, Emmanuel Macron déclarait qu’il ne voulait pas « donner des leçons » à son homologue en matière de droits humains. En 2005, à l’issue d’une élection présidentielle remportée avec 99 % des voix par Hosni Moubarak, Jacques Chirac envoyait un télégramme de félicitations à l’heureux élu. À ceux qui le lui reprochaient, il faisait remarquer que Moubarak était « le grand homme d’État du Proche-Orient » et que « le despotisme est la forme d’organisation politique la mieux adaptée à la culture arabe »3. Décidément, le nouveau monde d’Emmanuel Macron ressemble comme deux gouttes d’eau à l’ancien.

1Après avoir rompu avec les Frères musulmans, il a été candidat à l’élection présidentielle de 2012. Il est arrivé en quatrième position au premier tour, avec 17,47 % des voix.

2Voir la vidéo diffusée par Misr TV (en arabe).

3Cité par Guy Sorman, J’aurais voulu être français, Grasset, 2016.

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23 mars 2018 5 23 /03 /mars /2018 13:53

LE COUPERET EST TOMBÉ SUR L HOPITAL DE BASTIA (communiqué)

LA CGT du Centre Hospitalier de Bastia a pris connaissance des orientations de la séance du COPERMO, comité de performance et de modernisation, qui a eu lieu le mardi 20 mars 2018 au Ministère de la santé et qui devait examiner le dossier de notre établissement.

Ce tribunal de technocrates libéraux, qui n’ont que faire des besoins en offre de soins publics de nos territoires, des patients que nous sommes tous, décide de l’avenir de notre Hopital.

La CGT a toujours expliqué qu il ne fallait pas accepter le chantage de la performance et de la modernisation, de l’efficience, de promesses de moyens d investissement avec des contreparties. Nous l’avions dit en 2014, nous n’avons cessé depuis d’alerter sur les conséquences à venir, sans être écoutés ni entendus.

NOUS AVIONS UNE FOIS DE PLUS RAISON’

Nous y sommes, et l’addition serait lourde, diminution du nombres lits d’hospitalisation, suppression de 100 emplois environ de personnel médical et non medical.

Voila comment améliorer l’offre de soins en Corse.

Ces informations nous ont été données oralement, la direction étant sommée de ne pas communiquer.

LA CGT a immédiatement réagi en contactant hier le Directeur Général de l’ARS de Corse, qui par mail nous informe que rien n’est finalisé, qu’une mission d’inspection Générale sera réalisée sur la santé en Corse au mois de Mai, une de plus…

Nous n avons à ce jour que ces éléments, que nous tenons à diffuser publiquement, la CGT n’acceptera jamais une telle orientation et appelle tous ceux qui sont en responsabilité, membres de la commission médicale d’établissement, du conseil de surveillance qui doivent se réunir dans les prochains jours, à la rejeter massivement et avec des éléments objectifs. Cela est possible.

Nous ne cessons de le répéter, nous avons de beaux projets faits et refaits tous les 5 ans, nous avons besoin de moderniser et humaniser tous nos services, nous devons et pouvons améliorer notre offre de soins mais certainement pas dans ces conditions.

Plus que jamais, malheureusement confortés par nos justes analyses financières depuis des années, nous organiserons toute la résistance possible afin de défendre notre service public de santé tout en essayant de ne pas pénaliser notre activité en augmentation et donc les usagers que nous sommes tous.

Josette RISTERUCCI

Secrétaire CGT HOPITAL DE BASTIA

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21 mars 2018 3 21 /03 /mars /2018 17:28
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21 mars 2018 3 21 /03 /mars /2018 17:24

 

 
Bastia 10h00 devant le Palais de Justice
 
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21 mars 2018 3 21 /03 /mars /2018 16:35
Le controle des chomeurs
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21 mars 2018 3 21 /03 /mars /2018 16:16

Massacre d’AFRIN : « Un massacre organisé, une guerre totale contre les kurdes » (Pierre Laurent)

Dans le ciel d’Afrin, l’armée turque bombarde la population au moment où les troupes de Daesh avec les troupes turques font une offensive au sol. A cet heure, ils s’approchent du centre ville d’Afrin. C’est un massacre organisé, une guerre totale contre les kurdes.
Erdogan construit ainsi dans le sang  sa domination régionale, dont les répercussions géo politique sont extrêmement dangereuses pour la région, mais aussi pour la planète en permettant à Daesh de se reconstruire.

Face aux massacres, faces aux dangers, nous ne pouvons pas rester inertes. J’ai interpellé cette nuit l’Élysée. Le député Jean-Paul Lecoq a alerté la présidente de la Commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale. Nous demandons l’intervention de la France, de l’Union Européenne, des Nations Unis pour stopper le projet fou d’Erdogan par tout moyen.

J’appelle les progressistes, les forces démocratiques, les élu.e.s, les militant.e.s de la Paix à se mobiliser aujourd’hui et dans les jours qui viennent. Je serais présent à la manifestation parisienne à 14h30 place de la République jusqu’à Châtelet et j’appelle toutes celles et tous ceux qui sont épris de Paix à y participer.

Les communistes français participeront et aideront à organiser sur tout le territoire des initiatives unitaires pour la Paix, pour la solidarité avec le peuple Kurde qui a tant souffert.
J’adresse à nos ami.e.s kurdes l'assurance de notre détermination à faire arrêter les massacres et à faire juger les coupables de ce génocide.

Pierre Laurent, secrétaire national du PCF

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21 mars 2018 3 21 /03 /mars /2018 16:08

8 mois de prison ferme pour Ahed, une jeune palestinienne, pour avoir mis une claque méritée à un soldat israélien de l’occupation qui avait pénétré chez elle par effraction.

 
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21 mars 2018 3 21 /03 /mars /2018 10:24
Combattante kurde
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20 mars 2018 2 20 /03 /mars /2018 15:13
fascisti  fora
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